“A arte que liberta não pode vir da mão que escraviza”: escrita resistente e discurso contra-hegemônico em Quarto de Despejo, de Carolina Maria de Jesus

Abstract

Ce mémoire investigue le livre Le dépotoir (1960), de Carolina Maria de Jesus, d'après les concepts de contre littérature de Mouralis (1982), et contre-hégémonie, de Gramsci. Grâce à une analyse qualitative et bibliographique , ancrée dans l'interrelation entre la littérature et la société, comprend l’œuvre de l'auteur comme une manifestation ou une représentation d'une voix exclue dans le moment historique du développement économique du Brésil. L'auteur émerge avec le journal, en tissant des critiques aux hommes politiques, en exposant la misère et la faim d'un pays en cours de dépassement du sous-développement, mais incapable d'assister à tous et toutes. En appliquant la discussion de Gayatri Spivak (2010), il semble qu’aux subalternes - écrivain et caractère - reste être résistance contre le processus hégémonique du développement et à la littérature produite par « l’élite lettré » qui insistait pour les oublier, déplacées aux marges de la société. Pour une analyse de la résistance, nous utilisons Bosi (2002), en cherchant à comprendre comment la résistance est présentée dans le texte et le rapport entre l'écriture et les exclus. D’après Hugo Achugar (2006), nous considérons le journal comme un texte capable de manifester d'autres souvenirs et de contribuer à créer un récit plus démocratique de la nation brésilienne. Par conséquent, la production littéraire de Carolina tandis que la résistance montre un parcours plus démocratique non seulement pour l'inclusion d'autres récits - dans la construction d'un discours de la nation hétérogène - comme du propre faire littéraire.